Gallerie de PMPC

Rédigé par C. Guilleminot | Classé dans : Non classé

13
08 | 12

Épater la galerie n'est pas toujours un exercice de haut vol. C'est pourquoi je de dérogerai pas à l'habitude en vous présentant quelques graphiques issus de mélanges d'une rigueur parfois contestable. Ce sera triste pour certains, mais que les autres se rassurent, c'est "pour voir". Quatre années ont passé depuis que j'ai imaginé ce système et certains ne sont pas gêné pour bloquer toute tentative que j'aurais faite pour l'améliorer et surtout pour l'utiliser. Mais retraité depuis près d'un an, je peux aujourd'hui reprendre les choses en main en dehors de toute pression et sans embûches et avec le recul juger la méthode. Mes premiers essais ont été décevants et devant la vague des téléchargements, je suis étonné de ne pas avoir reçu de lettre d'insulte ni de légumes sur la tête en sortant de chez moi. C'est l'époque des tomates en ce moment et je les aime beaucoup. Dans la pratique PMPC est sensiblement différent des logiciels utilisés pour ma thèse mais la théorie reste la même. Il m'a fallut chercher l'origine des mauvais résultats obtenus. Nous utilisons les fichiers XML/resultat. Ce sont des textes de données séparées par des virgules communément notés avec le suffixe .csv. Ils sont ensuite compressés, analysés avec la méthode Complearn. J'ai fait l'hypothèse que l'information la plus condensée possible sur les suite d'atomes devait donner les meilleurs résultats. J'ai voulu (pour voir) utiliser les livres du signal produit par MPTK. Ce sont des fichiers binaires qui se compriment mal à priori et contiennent de nombreux artefacts qui rendent la compression un peu moins efficace. C'est du moins ce que je suppose d'expérience, la documentation étant inexistante à ce sujet et l'Irisa ayant restreint l'accès à ses sites. A ce stade, un script en Perl doit faire l'affaire. Après quelques heures de recherche et de programmation, j'obtiens un programme de dix lignes qui me donne en une seconde plusieurs répertoires d'une soixantaine de livres binaires compressés. Je lance NCD sur des dossiers choisis plus ou moins au hasard, puis maketree, qui travaille parfois pendant des heures, et enfin Neato qui me sort les jolis dessins attendus.

Mots clés : Aucun